Les maladies sexuellement transmissibles sont des infections qui se transmettent entre deux personnes durant une relation sexuelle. Il s’agit d’une infection, car une personne peut porter une bactérie ou un virus sans forcément en développer la maladie. Il faut également noter qu’il en existe plusieurs types ayant un niveau de gravité varié. Heureusement, des traitements existent pour soigner ces maladies. Suivez notre article.
Connaitre les aspects du traitement
Le traitement des MST a deux aspects. D’abord, il y a l’aspect préventif qui concerne l’utilisation d’une protection et le dépistage des personnes infectées. Ensuite, l’aspect curatif est basé sur des antibiotiques et des antiviraux appropriés. Dans la majorité des cas, le traitement va être des médicaments ou des antibiotiques contre les champignons. Pour les virus, le traitement est beaucoup plus nombreux. Pour l’herpès génital, entre autres, on utilise les antivirus simples. Ces derniers peuvent être prescrits de façon préventive continue, notamment en cas de récidives fréquentes.
Pour l’hépatite B chronique, les médecins recommandent les médicaments de l’immunité. Toutefois, la vaccination demeure la meilleure solution pour cette maladie. En outre, de nombreuses méthodes thérapeutiques sont mises en place pour tenter de soigner le sida. Il s’agit essentiellement du tri, voire quadrithérapie. Par ailleurs, les personnes atteintes par les condylomes privilégient les produits toxiques sous forme locale avec un suivi prolongé visant à dépister les récidives. Un autre problème fréquent est les infections associées entre elles. En ce sens, diverses MST coopèrent pour provoquer des lésions favorisant la contamination.
Un message préventif difficile à faire passer
Les aspects préventifs des MST sont souvent mal vus. En effet, en dépit des différents messages pour inciter à se protéger, beaucoup de personnes n’y voient que des contraintes. Beaucoup d’entre elles pensent que l’utilisation d’une protection constitue un frein au plaisir de cet acte qu’est l’amour. Et notamment auprès des jeunes, le message préventif passe souvent à la trappe ou complètement ignorer. Dans cette situation, il revient aux adultes d’adopter une communication de proximité auprès de leurs progénitures. Pourtant, le message est simple et clair. Il nous sensibilise à employer systématiquement du préservatif. D’ailleurs, c’est le premier niveau de la prévention.
Par ailleurs, le deuxième niveau intervient lorsque la maladie a été transmise. Il est donc indispensable de consulter rapidement un médecin au moindre singe anormal au niveau de l’appareil génital. Il est également important d’avertir sa ou son partenaire que la maladie est confirmée. Sachez que le dépistage fait partie des solutions préventives. Il ne faut pas donc s’en échapper lorsqu’il est proposé. Les chercheurs ne manquent pas de déployer des efforts pour limiter la propagation des maladies sexuellement transmissibles. Toutefois, malgré ces efforts, les comportements restent difficiles à changer, et notamment chez les jeunes. Les spécialistes ont démontré la nécessité de cibler les populations avec soin. Puis, il faut les consulter et les associer aux processus de mise en œuvre, de conception et d’évaluation.
Les symptômes chez les femmes
Les leucorrhées sont l’une des maladies sexuellement transmissibles les plus courantes chez les femmes. Elles se caractérisent par des sécrétions vaginales abondantes, teintées ou blanches. Ces sécrétions s’accompagnent souvent de signes cliniques comme les irritations, les démangeaisons, les brûlures… Toutefois, cette maladie peut passer inaperçue avant un examen médical.